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 WILHELMINA WILSON ☞ Take my breath away.

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WILHELMINA WILSON ☞ Take my breath away. Empty
MessageSujet: WILHELMINA WILSON ☞ Take my breath away.   WILHELMINA WILSON ☞ Take my breath away. EmptyMer 12 Avr - 22:05

Wilhelmina Wilson




nom et prénom : Wilson, qui est le nom de mon père. Seul souvenir qui me reste de lui, ainsi qu'à mon frère jumeau. Juste lui et nos lointains souvenirs. Un nom dont la consonance, ne résonne en nous que porteur de malheurs amers et meurtri par le sang de nos larmes. Wilhelmina qui a été donné par ma mère. Original, quand on sait que son roman favoris est tiré du célèbre Bram Stoker. Je ne suis pas des plus attachées. Je préfère qu'on m'appelle Mina. Mais ce n'est pas comme si j'avais eu le choix. Mon frère non plus, d'ailleurs... Quand on sait que lui, c'est Jonathan... On ne pouvait pas tomber plus bas ! âge, date et lieu de naissance  : J'ai tout juste vingt-huit ans, et déjà, la vie ne m'a pas épargnée. Ma famille et moi, compris. J'en ai baver affreusement. Je suis marquée par les déboires, les coups de l'injustice. Tout a commencé en Angleterre. Ville pluvieuse où reflète l'éclat d'un miroir brisé. C'est là que mon frère et moi avons vu le jour, dans les bas fonds de quartier délabré. Je suis arrivée, seulement, quelques minutes après mon jumeau, alors que nous n'avions, sans doute, rien demander. Le {chiffre et mois, date}. Nous ne pouvons choisir une naissance, une vie déjà toute faite. Toute tracée. Pourtant, mieux aurait valu que nous restions, sagement, dans le ventre de notre défunte mère. Ou alors, ne pas naître du tout. Quand on sait ce qui allait se passer... origines et nationalité  : Je suis de nationalité anglaise, seulement. Merci maman ! Je n'ai jamais eu l'occasion, voir l'idée de demander une double nationalité, pour l'Amérique. Non pas que cela ne m'intéresse pas. Mais... Je ne sais pas. J'ai bien d'autres chats à fouetter, je pense. J'ai tendance à beaucoup voyager déjà. Partout où je passe, où je vais, je me sens plus ou moins, chez moi. Partout et rien à la fois. En revanche, j'ai des origines australienne, de par le biais de mon père. Sans doute pour cette raison que j'ai la peau qui bronze vite au soleil ! C'est tout l'avantage, d'ailleurs... Avec mes voyages d'affaires. La température chaude des Etats-Unis, on a l'impression que je reviens, toujours, de vacances ! métier/études  : Comme mon frère, j'ai toujours voulu devenir chirurgien. Depuis toute petite, je dirais. Aider les gens, sauver des vies. Devenir un des maîtres de la justice, c'est ce qui m'a toujours branché. Peut-être, parce que... La vie, en elle-même, ne nous fait pas de cadeaux. Parce qu'on a tendance à tous courir, chacun de notre côté. L'air angoissé, désespéré. Que personne ne fait attention aux autres, quand ils ont besoin de réconfort, qu'ils touchent le fond du fond... C'était dur. Les études, je veux dire... Nos parents n'avaient déjà pas beaucoup de ressources financières. Nous ne vivions pas dans le luxe, le confort. Loin de là. Et leurs morts n'avaient aidés en rien... C'est notre oncle, notre tante, qui ont eu la gentillesse de nous héberger. De prendre soin de nous, alors que nous étions des pauvres brebis innocentes, égarées. Grâce à eux, nous avons pu accomplir nos rêves, notre destinée. J'avais une belle carrière. Mais, quand le seul et même poste, que mon jumeau et moi, convoitions, ils ont préféré son expérience. Et ils ont eu raison quelque part... Jonathan avait un don certain pour la chirurgie. A côté, j'étais banale. Insignifiante. Et je ne voulais représenter un obstacle pour lui. Je ne voulais pas être en conflit, à cause de cela. Je l'aimais trop pour lui faire un coup-bas. Mais il n'en restait pas moins que j'étais dégoutée, dans le fond. Je ne voulais aggraver, envenimer les choses, alors j'ai décidé de me fixer un nouveau but, un objectif. D'accomplir un nouveau rêve. L'écriture était ma seconde passion. Je passais des heures à gribouiller dans un carnet. Rêvant d'aventures, qui ne pouvait être miennes, à cette période, je me lâchais. Ainsi, je devenais romancière. Cela aurait sans doute plus à ma mère. statut amoureux  : écrire ici. à new haven depuis  : Je vis avec mon frère, depuis quelques années, seulement. Mais on s'y sent bien. C'est calme, paisible. Les voisins sont charmants, chaleureux. Agréables. C'est un petit coin de paradis. traits de caractère  : A l'écoute : Je n'ai jamais eu beaucoup d'amis. Ils se comptent, un peu, sur les doigts de la main, comme on dit. Et malgré mon statut... Ma certaine popularité. Que je suis un peu plus entourée, de par mon métier, il n'empêche que je n'ai pas pour habitude de beaucoup me rapprocher des autres. Non pas, que je suis antisociale, mais... J'ai du mal à faire confiance, dans le fond. Les deux seule personne, dont je me sens proches, sont Jonathan et Evan. Cependant, je sais tendre l'oreille. Si les autres ont besoin de vider leurs sacs, de conseils avisés, je sais me montrer présente. Patiente. Discrète, réservée : C'est tout le paradoxe de mon métier. Autant, de ce côté, je me sens confiante, souriante. Mais, quand ça devient personnel, j'ai tendance à m'effacer. Me refermait comme une huitre. Depuis toute petite, on m'a tout le temps bousculer. Chercher des noises. On m'écrasait, m'étouffer. Me piétinant, sans relâche. Je n'ai pas cette habitude, de me mettre en avant. Etre sous les feux des projecteurs. Quand on me demande ce que j'ai vécu. Si j'ai quelqu'un dans ma vie, j'ai tendance à lâcher ce petit rire nerveux. Ou bien, je contourne la question. Mon histoire, je n'en ai pas. Pas de belle, en tout cas... Souriante : C'est, peut-être, un masque que je porte, quotidiennement. Au sein du travail. Lors de conférences, de photoshoot, on me demande souvent de me montrer sous mon meilleur jour. Je suis plutôt experte, dans ce domaine. Mon sourire est même contagieux ! Derrière cette face cachée, où je souffre d'amour, d'attention permanent, le sourire me permet d'avancer. De mettre un pied devant l'autre. Et mieux vaut que je m'accroche, vous me direz. Sinon, c'est mal barré... Têtue :  Ah ça ! Quand j'ai une idée dans la tête, je ne la lâche pas ! J'ai tendance à foncer, tête baissée, dans le tas. C'est bien, quand on a des rêves, des objectifs à atteindre. Ca aide bien. Mais quand il s'agit d'un sujet plus délicat et sensible, là... Plus rien ne va ! J'ai vraiment cette vilaine manie de continuer dans ma lancée. Je veux toujours avoir raison. Obtenir gaine cause. C'est comme ça ! Ca peut être une bonne, comme une mauvaise chose, je dirais... Organisée, perfectionniste : Tout ce que j'ai sur la main. Tout ce qui doit se créer, se faire, c'est noté ! J'ai tendance à être bien ordonnée, organisée. Que ce soit en événement, faire les courses. Faire du rangement. Dans ma vie, tout est sur un calendrier. C'est même effrayant de vouloir se montrer aussi perfectionniste. Même Jonathan a toujours cet air ahurit, quand il me voit faire... Rancunière :  Je crois que c'est un de mes pires défauts. Le côté sombre de moi-même... Quand on me blesse. Verbalement, physiquement. Qu'importe l'occasion, j'ai tendance à ne pas pardonner, aussi aisément. Quand on me cherche, on me trouve. Ou plutôt, l'inverse ! J'ai tendance à rayer n'importe qui de ma liste, après ça... Ou bien, c'est le mal causé, qui me sert de cartouche personnelle, que je range, comme un pistolet, dans le fond de ma poche et que je n'hésite pas à ressortir. Dégainée, quand la tournure des événements, prennent un tournant, que je n'aime pas forcément. Davantage, si c'est le pire, des pires, je peux me montrer très cruelle. Méchante, sans merci. Vous faites une erreur avec moi, vous ne la faites pas deux fois ! Vous voyez le genre ? Protectrice : J'ai tendance à trop protéger. Trop couver les autres. Surtout, lorsque j'apprécie, réellement, quelqu'un. En particulier mon frère jumeau, Jonathan. C'est plus fort que moi. C'est l'instant maternel qui ressort et ce, depuis que je suis toute petite. Sincère, directe : Que ce soit dans de bonnes ou mauvaises conditions, j'ai toujours cette manie, de dire, toujours, le fond de ma pensée. Parfois, c'est mignon, attachant. Ca permet de resserrer des liens. D'autres fois, c'est trop blessant, directe. J'essaie de faire des efforts. De travailler dur, de ce côté-là. Parce que cela à tendance à m'embarquer dans des mésaventures. De me faire des ennemis. Et dans le fond, je ne veux pas de cela. Involontairement, je remarque que je blesse les autres. Mes proches et après, je le regrette, au point de me sentir mal dans ma peau. D'en devenir malade. Je l'ai appris à mes dépends, d'ailleurs, ces derniers temps... Fleur bleue : Derrière ce caractère, plus ou moins, bien trempé, se cache, au fond, une âme en peine, qui ressent le besoin constant, de vouloir de l'amour, de la compassion. Quand on me connaît bien, on sait la d'esseulée, d'ailleurs. De même, quand on a tendance à me blesser. C'est surtout, quand je me retrouve seule, que j'ai tendance à me planquer dans un coin. De me mettre en boule, me refermant sur moi-même. Me lamentant sur mon sort. Mais, à première vue, sous mes airs de petite femme forte, j'ai tendance à être une énigme, aux yeux de beaucoup... groupe  - Shade, malheureusement...



- anecdotes, tics et manies. -

01. Je suis née en Angleterre. A Londres, plus précisément. Quelques minutes après mon frère. 02. Nous vivions dans les bas fonds. Dans un quartier malfamée, un peu coupe-gorge, où il fallait toujours faire attention. Se protéger constamment. Mieux ne valait-il pas dormir à point fermés, je dirais... 03. C'est sûrement pour cette raison que mon frère et moi, nous nous sommes toujours protégés. Serrer les coudes. C'est toujours le cas, d'ailleurs. Même si les choses se sont détériorées entre nous, dernièrement... Il reste mon frère, mon jumeau. La prunelle de mes yeux, quand même et je ne laisserais personne lui faire du mal. 04. Ma famille avait du mal à joindre les deux bouts. Mon père, en particulier, enchaîner plusieurs emplois, pour essayer de régler les dettes accumulées, depuis tellement d'années. Il nous arrivait même de vendre certains de nos biens, pour ne pas être mis à la rue, jetés dehors, comme des malpropres... La seule chose à laquelle nous n'avons jamais touché, c'est la pâle collection de livres, que ma mère avait. Surtout celui de Bram Stoker. 05. C'est la seule chose que j'ai récupéré. Que je conserve, soigneusement, dans une petite vitrine, chez moi. L'hommage personnel rendu à nos parents... 06. Jonathan et moi n'avions pas tellement de jouets... On essayait de laisser nos esprits vagabonder. S'inventer des aventures, pour s'amuser. La seule chose pour laquelle on rouspétait. Qu'il ne fallait pas déplacer. Même touché, c'était notre vieux tourne disques et les quelques vieux vinyles que nous avions en stock. 07. Mon jumeau et moi rêvions constamment de devenir chirurgiens. Depuis notre plus tendre enfance. C'était nos souhaits, nos rêves les plus chers. Aider les autres, sauver des vies, ça nous aidait à nous humanisés. A nous attacher, un peu, aux autres - cela m'aida, aussi, à faire un peu plus confiance. Mais bien sûr, nos parents n'avaient pas les moyens. Alors, on s'inventait une table d'opération et on soignait nos doudous à cette période. C'est comme ça que nous nous sommes jurés. Que la passion est née, pour se nommer comme de grands médecins. Qu'on arriverait à se forger cette carrière, quoi qu'il arrive... 08. J'étais sans cesse huer, insulter, à l'école. Le véritable souffre douleur de la classe. Et même si Jonathan se battait de toutes ses forces. Se démener comme un diable pour prendre ma défense, ça lui arrivait régulièrement de rentrer chez nous, ruer de coups... 09. Un jour, alors que mon jumeau était souffrant. Qu'il était resté à la maison pour se rétablir, une fois de plus, je passais un sale quart d'heure au sein de l'établissement. J'étais à la merci de tous, jusqu'à-ce qu'un jeune garçon. Un petit nouveau prenne ma défense. Il était, certes, un peu plus âgé que moi, mais il devint rapidement un ami, un ange gardien. Un confident. Probablement la personne la plus adorable, attachante, que je n'avais jamais connu, en dehors de ma famille. Et surtout, de mon frère. 10. Mon jumeau n'appréciait pas tellement l'idée que je puisse me lier, ne serait-ce que d'amitié avec quelqu'un... Il voulait rester dans cette zone de confort, de stabilité. Garder son exclusivité, auprès de moi, tout comme je l'étais, pour lui. Il ne supportait pas qu'on puisse poser un regard. Il était très jaloux envers Evan et essayait toujours, de le provoquer, à ma plus grande exaspération... Cela n'arrangea en rien, lorsque nous nous sommes rendu compte que nous avions, finalement, des sentiments l'un pour l'autre. Qu'on se mire à sortir ensemble...

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