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 Topic de Caleb & Snow - HOW TO ROMANCE.

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I Never Lies! x)
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MessageSujet: Topic de Caleb & Snow - HOW TO ROMANCE.   Topic de Caleb & Snow - HOW TO ROMANCE. EmptyDim 29 Mai - 17:48



CHAPTER I - SAUVE-MOI.

« TU SERAS AIME, LE JOUR, OU, TU POURRAS MONTRER, TES FAIBLESSES, SANS QUE L'AUTRE, S'EN SERVE, POUR AUGMENTER SA FORCE. »




    La douleur. Un tout, petit mot, qui a priori, ne semble, signifier grands-choses... Ne constituant, ne serait-ce qu'une seule ligne, aux premiers abords, elle semble, point, rentrer, dans le vocabulaire. Dans l'ordre des circonstances, de certaines gens. En regardant dans la pelouse, de son voisin, nous avons, la vague sensation. Le sentiment, que, tout à l'air, d'aller pour le mieux, dans le meilleur des mondes. Que, sa poussée d'herbes, est toujours, aussi, lumineusement verte. Luxuriante. Que cette personne, semble tellement heureuse. Joviale. Qu'elle respire la joie de vivre, chaque fois, que vous croisez, son regard troublant, envoûtant, que vous ne voyez l'épreuve, que celle-ci, est entrain de vivre, de surmonter, secrètement, à bien des égards... De combattre, constamment, avec un, certain, acharnement. Avec, enchaînement... Elle vous gratifie d'un doux rictus, pour le moins, charmeur, que vous retournez, également, par un léger signe de tête. Mais, en vérité, la réalité, est toute autre... La lutte, de ses sentiments inavoués. Voile carmin, où se dessinent, ses iris bleutées, n'est protégé. Cacher, que, par un vulgaire masque, que chacun, se contente de porter. Alors, que, cette dernière, semblait éviter cet épineux problème. Qu'elle voulait contourner l'obstacle, quelque chose, l'en empêcher. Elle ne pouvait foncer, tête baissée. Et, alors, qu'elle craignait, de précéder, à sa chute déferlante. Qu'elle était effrayée, à l'idée de tomber, à la renverse. Sur le bas côté. Alors, que la raison, le fuyait. Que le sol, allait s'écrouler, sous, ses pas. Derrière, son délicat, tracé. Que ce jeune homme, n'avait plus guère de quoi respirer. Que l'air, ne semblait que vapeurs empoisonnées, qui ne cessait de l'étouffer. Tel un cadeau, méprisé, que ce dernier, aurait peur, de déballer, à chaque seconde. Chaque minute, qui défilaient, s'égrenaient, à travers ce sablier, qui marque notre temps. Notre apogée... Dans un monde de cruauté, de misère. Monde de chimère, qui ne faisait, que, broyer les plus faibles. Sombre existence, qu'il voulait, oublier. Purger de sa peine. Balayer d'un simple geste, d'un simple revers, de la main. D'un simple regard, ce clapier, ne faisait, pourtant, que le retenir prisonnier, de ses propres souffrances. Entravant, l'être sauvage, sans bonne conscience. Il semblait, que cette douleur lancinante, qui le transperçait, de ses piques de glaces. De sa lame effilée. Fort bien, aiguisée, n'avait été faite, que pour lui. Sans nul doute, que, le bel apollon, s'imaginait, que, quiconque, qu'il croiserait, ne viendrait l'aider, à sa rencontre. Le soulageant, de ce far d'eau, qui n'était, que, bien trop lourd, à porter. Devoir, qui l'incombait. Qui affaissaient, ses larges épaules, carrées. Et, alors, que l'existence, entière, continuer de tourner, autour de son axe, sous son regard affoler. Paniquer, impuissant. Qu'il avait sauté, dans le gouffre. Dans ce trou, noir et béant... Qui sait, ce que Caleb, pouvait, avoir dit, aux ténèbres ? Dans les moments, les plus amers, de la nuit. Soleil fugace, qui avaient, disparût, dans les brumes, d'une triste vie. Seul, le crépuscule lunaire, lui tenait compagnie. Son âme, esseulée, était mis au supplice. Au pardon. Les paroisses de verres, qui se trouvaient, autour de son être. De sa frêle silhouette, semblaient, se rétrécir. Les murs, de son boudoir, se refermant, sur lui. Tel, un piège, à souris. Il était meurtri, par les années passées. D'humiliations, et de petites vies. Il semblait si beau. Pourtant, si froid, comme la mort. Tel un pâle matin de printemps, qui frissonne, encore, sous un hiver de glace. Un hiver tenace... Peut-être, avait-il, hurler ? Peut-être, avait-il, cogner, de toutes ces forces, qui sait ? Sans nul doute, que, le beau brun, avait demandé, de l'aide. Qu'il avait besoin, d'une personne, qu'il appréciait. Qu'il aimait. En qui, il pouvait avoir toute confiance, afin de passer, au travers de ses pleurs. De sa propre douleur, sans craindre l'idée, de montrer ses faiblesses. Sans avoir honte, de soulager, son coeur. Sans que, son voisin, ne se joue ,de lui. Se moque, de sa personne. Terrible fatalité, sombre calomnie. Quand, tout ceci, n'est que folie, hérésie, miroitant, dans les cendres de l'oubli - créature de cendres, il allait devenir. Il ne serait que, l'ombre de lui-même, si tu n'allais venir, à lui. Et, ça, tu ne pouvais le supporter, davantage. Le concevoir. Tu ne pouvais le voir, errer, ainsi, telle une âme égarée, en peine. Mais, tu savais, pertinemment. Parfaitement, que, la douleur, peut se manifester, sous différente forme... Ca peut être, un petit pincement, une légère irritation. Une douleur lancinante, une douleur qu'on supporte, tous les jours... Et, il y a ce genre de douleur, qu'on ne peut, guère, ignorer. Une douleur, si grande, quelle bloque tout le reste, et, fait disparaître, le reste du monde, jusqu'à ce que, la seule chose, à laquelle, on pense, c'est à quel point, on souffre... La façon, dont, on gère notre douleur, dépend de nous. La douleur, on l'anesthésie, on la surmonte, on l'étreint, on l'ignore. Et, pour certain d'entre nous, la meilleure façon de gérer la douleur, c'est de foncer tête baissée. Mais, aujourd'hui, tu avais décidée, que tu serais à ses côtés. Car, Caleb, se trouvait être un bon ami. Un frère, un confident. Ton tout, ton essentiel. Et, s'il avait besoin de toi, tu te devais, de fuir, immédiatement, irrémédiablement. De cesser, toutes activités, que tu faisais. Car, tu lui avais promis, que tu serais toujours là, pour lui. Que, tu remuerais, ciel et terre. Que, tu te battrais, contre vents et marrés. Rien, que pour lui. Juste, pour lui. Le reste n'était, que, sans importance. Sans grandes valeurs, sans grandes saveurs. Parce que, le carrousel, ne s'arrête, jamais, de tourner, quoi qu'il arrive...

    Tu avais reçu, un sms. Un message, sur ton cellulaire, cependant, que, tu travaillais, tranquillement, en compagnie de tes collègues, que tu portais, tous, dans ton coeur. Que, tu considérais, un peu, comme une famille - famille, que, tu n'avais, jamais, réellement, eu, durant, toute ta vie, durant. Au demeurant. Tu avais, échapper, un léger rire, pour le moins, cristallin. Tu riais aux éclats. A gorge déployée, face à l'amusement, de ces quelques derniers. Mais, quand, tu remarquais, le nom, afficher, sur l'écran, grisonnant, ton âme, manqua, un battement. La panique, la peur, t'enveloppait. T'engloutissait, de son manteau, de fumée. Tu avais retenu, ta respiration, soudainement. Alors, que, tu avais reprit, un air sérieux, sombre. Tu t'étais, dont, excuser, auprès, de tes amis. Leur demandant, gentiment, s'ils pouvaient, se charger, de la boutique. Des clients. Quand, bien même, tu leurs faisaient, confiance - quand, bien même, ton meilleur ami, d'enfance, était présent. Que, c'était, devenu, compliqué, entre vous, il avait remarqué, cependant, que, tu avais besoin de sortir. De secourir, un ami, qui t'était cher. Qui comptait, énormément, pour toi. Te donnant, ainsi, son feu vert... Tu avais, alors, accouru. Tu avais pris ta voiture, pour te rendre au centre commercial, où, le bel apollon, était prisonnier, de ses malheurs. De ses propres tourments. Tu avais, fait bien attention, naturellement. Mais, quand tu étais, arrivée à bon port. A destination. C'est, sans ménagement, sans la moindre, petite hésitation, que tu avais, entrepris, une folle course, contre la montre. Tu avais couru, de toutes tes forces - couru, jusqu'à, en perdre haleine. La raison. Tu avais, monter, les escalators, quatre, par quatre. Ne prêtant attention, à ta douleur lancinante, qui circulait, dans ta jambe. Dans la cicatrice, qui, s'était, refermer, après maintes années, mais, qui, pourtant, te faisait souffrir, atrocement, quand, c'était de trop, pour elle. Mais, la douleur, tu l'étreignais. La douleur, tu l'évinçais, car, ton petit trésor, avait besoin de toi. De ton aide. De ta douceur. Parce que, les sombres souvenirs, de son existence, étaient remontés, à la surface. Parce que, le passé, avait finis, par, le rattraper, à bien des égards. Son premier amour - amour, de sa jeunesse meurtri, l'avait confronté. Le petit ballon noir, avait fini, par, le rattacher, à ses tristes pensées, à l'instar, que, votre temps, était, désormais, imparti. Ton doux regard, contempler, chaque parcelle, avec impatience. Ton regard trouble, dardait, chaque recoin, avec insistance. Tu arrivais, alors, après de longues minutes, qui te parurent, étrangement, interminables, du haut, de la machine hurlante, néanmoins, que, tu ralentissais le pas, te préparant, sans nul doute, à appeler, ton ami, ton essentiel. Ton tout. Mais, tu n'eus guère le temps, de le faire. De t'exécuter. De souffler, un instant, que ton attention, se porta, sur une silhouette, qui se trouvait, en retrait. Un peu plus loin. Se trouvant, dans l'ombre vacillante, d'un mur délabré. Etroit, qui avait l'air, de donner, sur un long, couloir. Une porte de sortie... Tu n'hésitais, guère, une seconde de plus... Tu passais, au devant. Trottinant, vers lui. Clopin-clopant. Et, alors, que tu arrivais, enfin, vers ce dernier. Ton regard, se changea, irrémédiablement. Irrévocablement, lorsque, tu remarquais, ses orbes bleutées - couleur de l'eau, après la tempête. Rougies, par ses larmes. Son teint blême, et fatigué. Ton instinct, te dictait, dont, de le prendre, délicatement, par le bras, pour l'amener, un peu plus loin. Pour être, à l'abri des regards. Mais, alors, que les minutes semblaient, défilées, doucement. Que, vous étiez, tout deux, seuls, désormais, dans cet espace restreint. Que, plus rien n'avait d'importance. Que, seul, Caleb, t'importer, désormais, tu commençais, délicatement, par lui essuyais, les petites goûtes, d'eau salées, qui avaient, perlées, le long, de ses douces joues nacrées. Mourant, ainsi, sur son cou. « Je suis là. Ca va aller. » Lui, avouais-tu, d'une voix douce, rassurante. Presque, dans un murmure, à mesure, que, tu lui caressais la joue. Remettait, quelques mèches, de cheveux, volage, qui barrait, son doux regard, à ta vue, qui était peinée, attristée. Affectée, par sa douleur. Son chagrin, lancinant. Son grand désarroi. « Que, s'est-il passé, mon rayon de soleil. Mon essentiel ? » Te risquais-tu, à lui demander, toujours, sur un air, serein. Bien, qu'on pouvait, y percevoir, cette pointe, de mélancolie, à son égard. Cependant, que, tu lui prenais, la main. La caressant, avec douceur, pour l'aider. L'inciter, à s'expliquer. A se confesser, se lâcher. Se délester, du lourd far d'eau, qui l'incombait...
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