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 KAYLEIGH-SNOW FRASER ☞ Morning Coffee - VERSION DEUX. BROUIL

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MessageSujet: KAYLEIGH-SNOW FRASER ☞ Morning Coffee - VERSION DEUX. BROUIL   KAYLEIGH-SNOW FRASER ☞ Morning Coffee - VERSION DEUX. BROUIL EmptyMer 5 Déc - 14:02

CHAPITRE PREMIER - TITRE A TROUVER.

"Citation à trouver."


Tes petits doigts de fées, pianotaient, énergiquement, sur la machine à écrire. Tu t'y atteler, de toute ton âme, ne faisant guère attention à ce qui pouvait, bel et bien, t'entourer. Cela te semblait abstrait, indigne de ton intérêt. Seules les futures pages cornées, de ton premier roman, t'absorbait, en cet instant - tellement, que tu ne remarquais l'arrivée d'un jeune homme, qui se mit à ta hauteur. Devant ton petit bureau - celui de ton père... « Bonjour, mademoiselle. Pardonnez-moi, mais j'ai rendez-vous avec Mr. Fraser. » Entendais-tu, d'une voix douce, mélodieuse. Courtoise, cependant, que tu daignais poser ton regard sur le sien. Réprimant, pratiquement, un soupir, qui se voulait aussi légère qu'une simple brise. Cela t'agaçait, quelque peu, de devoir interrompre ton dur travail, qui te prenait trop à cœur, certainement, mais tu te savais parfaitement, que tu devais fournir quelques efforts, que cela soit, étant donné, que tu te trouvais dans les bureaux de ton paternel. Raison de plus, qu'il t'avait, tout aussi, mis au courant, concernant la présence d'un jeune associé, qui se voulait prometteuse, aux yeux de ton géniteur. C'est pourquoi, il fallait bien admettre, que tu devais faire bonne figure. Te montrer bienveillante, de peur de le décevoir. Et, dans le fond, ce n'est point ce que tu désirais. Bien au contraire... « Le grand homme, en personne ! » Cantonnais-tu, à l'égard de ta collègue, afin qu'elle puisse prévenir ton paternel, d'une voix qui se voulait un peu trop criarde, à ton goût, tout en adressant un charmant petit rictus, au beau brun. Tu le vis dont hocher la tête, pour approuver tes propos, tout en te tendant, de sa main calleuse, un petit carton, pour se présenter, dans les formes. « C'est bien cela ! » Tu le remercier, chaleureusement, tout en prenant, délicatement, la carte, pour l'observer. En lire le contenu. « Sir Graham Grayson. Baronnet. » Tu donnais, alors, le petit bout de papier, à ta voisine, visiblement surprise, par le rang du bel apollon. « Il ne va pas tarder. » Tu le rassurait, en lui adressant un doux petit rictus, tout en te levant de ton dossier, afin de prendre le bloc de pages, qui te sert de roman, néanmoins que tu le vit exprimer une certain reconnaissance, à ton égard. « Ne le prenez pas mal, mais... J'espère que vous n'êtes pas en retard ? Car cela a tendance à l'horripiler... » Te risquais-tu à lui demander, d'une voix douce. Réajustant, délicatement, ton texte. « Pas du tout ! Je suis même en avance ! » Se justifia-t-il, visiblement satisfait de sa réponse, néanmoins que tu replaçais une feuille, d'un blanc immaculé, dans la machine à écrire. Tu te mis, dont, à sa hauteur, alors que tu lui adressais un charmant petit rictus, bien que tu semblais embarrassée, sur le moment... Tu ne désirais point le froisser, mais tu te devais de lui avouer la vérité, concernant son futur patron. Tu ne sais guère pourquoi, mais tu ne souhaitais lui causer quelconque tourment. Du moins, pas professionnellement, en tout cas... « Excusez-moi, mais cela l'horripile, également. » Achevais-tu, en haussant, légèrement, les épaules. Comme pour présenter tes plus plates excuses, envers ce dernier. Sans toutefois saisir les agissements de ton cher paternel, quelques fois... Tu t'apprêtais à sortir du bâtiment, pour y déposer ton bloc, dans la voiture, lorsque le beau brun se mit à feuilleter, avec soin, tes pages, alors que tu grinçais des dents, dans un semblant d'embarrassement. Tu n'aimais guère cela, dans le fond... « Je ne veux pas être indiscret, mais c'est une œuvre de fiction ? » Se risquait-il à te demander, feuilletant toujours, délicatement, les pages. Ne détachant son doux regard en voûtant, pénétrant, de ton texte. Les secondes s'égrenaient à travers ce sablier, qui marque votre temps... Tu t'apprêtais à lui répondre, mais, à peine eus-tu le temps de souffler quelques paroles censées, que le beau jeune homme te coupait, déjà, l'herbe sous le pied... « Pour qui la tapez-vous ? » - « Elle sera envoyée à New-York, à l'Atlantic Monthy, plus précisément... » Finis-tu, par souffler, après quelques longs instants, qui te parurent interminables. Attendant, alors, que ce dernier te redonne le fruit de ton dur labeur... « Je ne sais pas qui l'a écrite, mais je dois avouer que c'est excellent ! » Souligna-t-il, d'une voix rassurante. Charmeuse à souhait, cependant qu'il se mit à lire un passage, en particulier. Ne se doutant, alors, que cela pouvait venir de toi. Que ces lignes ne provenait que de ton imagination débordante, ton esprit, parfois, torturé... « Vous trouvez ? » Osais-tu, finalement, souffler, presque dans un murmure, néanmoins que tu te rapprocher, délicatement, de ce dernier, pour contempler l'extrait, sur lequel il s'était arrêté. « C'est tout à fait captivant... » Achevait-il, visiblement, intrigué par le roman. Toi, tu te mis à sourire, telle une idiote balafrée. Quelque peu satisfaite, rassurée de sa critique. « J'en suis l'auteur... » Finis-tu par lâcher, après quelques instants, avec une certaine pointe d'embarrassement, à mesure que tu vis le bel apollon se retourner vers toi, pour te toiser avec sérieux. Comme pour y déceler, si tu ne t'amusais point à ses dépens. Ce qui n'était guère le cas, dans le fond... Jamais tu n'oserais agir de la sorte, avec pareils inconnus... « Ca vient bien de moi. » Confirmais-tu, d'une voix douce, bien que ferme, à la fois. Comme pour lui faire comprendre, que tu ne plaisanter guère, avec lui, en cet instant. Tu le vis dont remettre, soigneusement, le texte en place. T'adressant, ainsi, un mignon petit rictus, qui t'arracher, étonnement, un frisson, qui parcourait le long de ton échine, sans que tu ne puisses l'expliquer, au fond de ton être, ta frêle silhouette... « Des fantômes ? » Se risqua-t-il à te demander, finalement, après quelques longs instants. Te toisant, ainsi, l'air intrigué. Patientant, sagement, à l'argument, que tu allais bien pouvoir lui fournir, sans nul doute possible... « En réalité, c'est plus une métaphore... Je... » Tu ne savais que dire... Comment te justifier, le rassurer... Etrangement, tu craignais, sur le coup, de l'effrayer, avec tout ceci. Ou bien, qu'il ne te prenne, pour une parfaite petite sotte. Ou encore, que ce dernier change d'avis, sur ton bouquin... « Ils me fascinent, en fait... » Lâchait-il, d'une voix douce, mélodieuse. Presque dans un murmure, cependant qu'il s'approcher de ton être, ta frêle silhouette. Alors, que tu te sentais, étrangement, rassurée et embarrassée, à la fois... Tu ne savais que dire de plus, dans tout cela... « Chez moi, on les prend très au sérieux. » Tu fronçais les sourcils, dans un semblant d'incompréhension. Quelque peu piquée par la curiosité. Intriguée, par la nature de ses propos. Tu ouvrais dont la bouche, afin de le questionner. Rentrer, ainsi, dans le vif du sujet, lorsque vous furent interrompue par l'assistante de ton paternel, qui se mirent à votre hauteur. « Sir Grayson, je vous présente Mr. Fraser. » Tu reculais, légèrement, pour laisser place à ton cher géniteur, qui tendit, alors, la main, pour serrer celle du beau brun. « Bienvenue dans notre charmante ville ! » Le salua-t-il, sur un ton qui se voulait courtois. Lui adressant, ainsi, un petit rictus, que Graham lui retournait, naturellement. « Enchanté. » Rétorquait le jeune homme, en hochant la tête, en signe de reconnaissance. Ton paternel se retournait, dont, vers toi, pour te toiser avec tendresse, néanmoins que tu te rapprocher de lui, en laissant échapper de tes lèvres légèrement rosées, un mignon petit rictus. « Vous avez rencontré ma fille, à ce que je vois... » Souligna ce dernier, en vous toisant intensément, à tour de rôle, néanmoins, que le regard du bel apollon se posa, alors, sur le tien, visiblement pantois, par rapport à cette révélation... A mesure, que tu lui retournais un petit sourire, pour le moins crispé. Quelque peu embarrassée de la situation. Tu n'aimais guère, dans le fond, que ton père, soulève ce genre de détails. La plupart du temps, ça te donner une certaine image de fille à papa... Et, si, jusqu'à présent, cela ne t'atteignait guère plus que cela, désormais, tu ne savais plus où te mettre. Il faut dire que le beau brun te plaisait, d'une certaine manière. Tu le trouvais charmant, il est vrai. Et voilà que maintenant, tu étais effrayée à l'idée qu'il ne puisse te voir différemment... Ironique, non ?
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MessageSujet: Re: KAYLEIGH-SNOW FRASER ☞ Morning Coffee - VERSION DEUX. BROUIL   KAYLEIGH-SNOW FRASER ☞ Morning Coffee - VERSION DEUX. BROUIL EmptyMer 5 Déc - 23:59

CHAPITRE DEUX - TITRE A TROUVER : PREMIERE PARTIE.

"Citation à trouver."


Sans que tu ne puisses contrôler quoi que ce fusse, tu t'étais rendu compte, que tu venais de sombrer dans un sommeil sans rêves... Tu repris conscience, peu à peu, de la dure réalité qui se matérialisée, sous tes orbes bleutées, lorsque, soudainement, tu entendais frapper du poing, contre ta porte d'entrée. Tu te levais difficilement, ne prenant la peine de remettre tes mèches rebelles, derrière l'une de tes oreilles, et dévoilée, avec une certaine surprise et une pointe d'embarrassement, l'entrée à Graham, qui était là, haletant. Remarquant dont, que sa silhouette, ainsi que son beau costard en était trempés, à cause de la tempête... Sur le coup, tu remarquais son visage rayonnant de bonheur - bonheur qui s'évapora, pourtant sitôt, qu'il aperçut ton teint blême et fatigué... Sans que t'eusses engagé la conversation, tu l'invitais à entrer, afin que ce dernier ne puisse attraper froid, cependant que tu refermais, délicatement, derrière son étroit passage. Derrière son tortueux tracé. « Qu'avez-vous ? Vous êtes pâle... » S'enquit-il de ton état, d'une voix qui se voulait douce, bien que grave, à la fois. Qui se fut à peine audible, perceptible. Presque dans un murmure, alors qu'il s'approcher, délicatement, de ton être, ta frêle silhouette, dans une charmante tentative de savoir. Ce qui te touchait, sur l'instant, il fallait l'admettre. « Je ne me sens pas très bien. Mais... Ce n'est rien... » Tentais-tu, vainement de le rassurer, bien que tu remarquais, que l'inquiétude s'engouffrait, doucement, en lui, faisant accélérer son rythme cardiaque, sensiblement. Sentant son pouls accélérer, considérablement... Et tu devais l'admettre, que, si tu le connaissais un peu mieux qu'à présent, tu te serais risqué, sans nul doute possible, à le prendre dans tes bras. Néanmoins, bien que tu trouvasses son attention forte attendrissante et louable, tu te surpris, même, à t'approcher, à ton tour, du bel apollon. Tout en gardant une distance raisonnable, naturellement. Croisant, ainsi, les bras, sur ta poitrine. « Mon père n'est pas là... » Informais-tu, le jeune homme, d'une voix douce, courtoise. T'apercevant, dont, après de longues minutes, que la présence impromptue de Graham, ne pouvait se désigner, pour tes beaux yeux... A en juger par la magnifique tenue de ce dernier, il ne pouvait que se rendre à la réception, organisée par les Macintosh, pour sûr ! « Je sais. » Te retournait-il, d'une voix mélodieuse. Séduisante, à mesure que tu le toisais, intensément. Fronçant, alors, les sourcils, dans un semblant d'incompréhension. « J'ai attendu sous la pluie, qu'il parte. » Tu te sentais dont rougir, comme un pivoine. Ton cœur battait, cogné fort, dans ta poitrine, néanmoins, que tu ne savais que dire, devant son charmant geste. Cela était bien trop beau, pour être vrai... Tu devais, sans nul doute, te faire des idées, concernant ses intentions, à ton égard. Tu ne pouvais te permettre cela, de t'emballer, pour ce genre de choses... « Il se rend à la réception donnée par les Macintosh. Tout comme pour moi. » Souffla-t-il, alors, comme si celui-ci avait réussi à lire en toi, comme dans un livre ouvert. Comme si tu venais de faire tomber ton masque de l'indifférence - la déférence, qui t'incombes. Il fit un pas de plus vers toi, posant son regard envoûtant, pénétrant, sur le tien. Tu sentais dont un léger frisson te parcourir l'échine, néanmoins que tu ne savais, réellement, comment agir, sur l'instant présent... « C'est à Braemar... Nous sommes au Royal Deeside... » Soulignais-tu, d'une voix douce, bienveillante, cependant que tu remarquais l'air ahurit de Graham, qui devait bien se poser des questions. Comme s'il s'agissait d'une petite chouette, pris dans les phares d'une voiture. « Vous êtes perdu... » Reconnues-tu, finalement, en laissant échapper de tes lèvres, légèrement rosées, un mignon petit rictus. Bien qu'on y déceler une pointe d'amusement, dans le fond... « En effet ! Et j'ai besoin de votre aide. » - « Pourquoi ? » Te risquais-tu à lui demander, presque dans un murmure, en posant, délicatement, une main sur la rambarde de l'escalier en bois. Tu le vis dont te toiser, durant quelques longs instants, néanmoins, que tu le vis sourire, quelque peu embarrassé. Tel un idiot balafré. « La langue, notamment... Vous l'avez constatée, je ne parle pas bien le Gaélique Ecossais... » Finit-il par bredouiller, quelque peu, penaud. Honteux, de tout cela - comme s'il avait avoué commettre un crime... Tu laissais échapper un léger rire cristallin, avant même de le couvrir d'un doux regard bienveillant. Rassurant. Tu ne pouvais être blessée, froissée, par sa confession. Bien au contraire... Cependant, tu ne sais pourquoi, mais, au fond de ton être, tu hésitais, encore, à l'accompagner Non point que tu ne souhaitais lui venir en aide. Faire une bonne action. Mais tu ne pouvais avoir conscience tranquille, en cet instant même... Comme si tu sentais, que, si tu osais sortir la tête de dehors, tu allais le payer de ta vie. Le regretter à jamais. Tu te sentais comme une enfant, qui s'apprêtait à faire une fugue, une certaine bêtise. Qu'on attraperait, directement, la main dans le sac... Tu ouvrais la bouche, pour placer quelques paroles censées, mais à peine eus-tu le temps de le faire, que le beau brun te coupait, déjà, l'herbe sous le pied. Comme s'il avait décelé, une fois de plus, ton hésitation... « Pourquoi restez-vous ici, toute seule ? » Te demandait-il, d'une voix douce, charmeuse. Mélodieuse, bien que tu entendisses, une certaine pointe de tristesse, à ton égard, cependant que tu regardais la hauteur des escaliers, qui menaient aux étages. Dont ta chambre compris. Tu ne saurais dire pourquoi, mais la pénombre qui s'en dégager, ne te rassurait plus guère, sur l'instant. Et puis, il fallait l'admettre, dans le fond... Qu'avais-tu à perdre, dans tout cela ? « Très bien, je vous accompagne ! » Lâchais-tu, d'un air déterminé, bien que mélodieux à la fois, qui, tu remarquais, ne fit que faire plaisir, soulagé Graham. « Laissez-moi juste un moment, pour me changer. » Achevais-tu, d'une voix douce, suppliante. Néanmoins, que le beau brun hochait la tête, pour approuver tes propos, ainsi que sa profonde reconnaissance. T'adressant, ainsi, un mignon petit rictus, que tu appréciée, tout particulièrement. Qui te fit battre ton cœur à vive allure. Sans que tu ne puisses contrôler quoi que se fusse... Tu le vis dont faire quelques pas, sur le bas-côté, afin de patienter, sagement, ton retour, alors que tu te décidais, finalement, à braver les marches, quatre à quatre. Dans une démarche gracieusement dansante, pour atteindre la pénombre de ta chambre, dans laquelle se trouvait ta garde-robe, qui t'attendait, patiemment.
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MessageSujet: Re: KAYLEIGH-SNOW FRASER ☞ Morning Coffee - VERSION DEUX. BROUIL   KAYLEIGH-SNOW FRASER ☞ Morning Coffee - VERSION DEUX. BROUIL EmptyLun 10 Déc - 16:09

CHAPITRE DEUX - TITRE A TROUVER : DEUXIEME PARTIE.

"Citation à trouver."



A peine tout deux arrivés à la réception, bras-dessus bras-dessous, que les convives se trouvant autour de vos êtres confiantes, furent quelques peu stupéfaites, pantoises de vous voir et ensemble. La jolie jeune femme, qui se trouvait être la seule, l'enfant unique de la famille Macintosh, l'hôtesse de maison : sa mère, qui ne t'appréciaient plus que cela, dans le fond, ainsi que ton paternel l'en étaient davantage, qu'ils ne les laissaient paraîtres, sur les fins traits de leurs visages. Graham, en tout charmant gentleman, t'aidait à enlever ton manteau, délicatement, cependant que tu le remercier, chaleureusement, d'un signe de tête. Tu le vis, dont, donner vos effets personnels à une domestique, qui s'enfuit en toute hâte, néanmoins que le bel apollon donner discrètement le signal à Mme Macintosh, pour se placer au centre de la pièce, parmi toutes ces petites gens, afin qu'elle fasse les présentations, en bonne et dû forme - ouvrir le bal, comme il se doit. « Mesdames et Messieurs, veuillez vous écartez, s'il-vous plait ! » Entendais-tu, de la part du beau brun, d'un ton qui se voulait amical, mais ferme, à la fois, alors, que les convives s'exécutaient, silencieusement. A peine eus-eut le temps de souffler, que tu sentis une pression se faire, doucement, au niveau de ton bras, t'incitant, ainsi, à faire de même. Découvrant que ce n'était autre que ton géniteur, tu l'obéissais, sans ménagement. Restant, sagement, au côté de ce dernier. Tu loucher entre le doux regard envoûtant, pénétrant du jeune homme, qui se mit à la hauteur de l'hôtesse de maison, et celle-ci, qui était visiblement, animé par la grâce, ainsi que la joie, à mesure qu'elle ouvrait la bouche, pour placer quelques paroles censées. « Le baronnet souhaite nous faire découvrir la valse à l'Européenne. » Déclare-t'elle, d'une voix mélodieuse, distincte, à l'égard des invités, en leur adressant un mignon petit rictus, avant même de s'éclipser, sur le bas-côté, de s'autoriser à laisser le monopole de l'attention à Graham, qu'elle contemplait avec fierté, ainsi que sa fille. Se souvenant, parfaitement, dans le fond, que le jeune homme lui avait fait la promesse solennelle, d'être, ainsi, le cavalier de la prunelle de ses yeux. Qu'au fond de son être, sa frêle silhouette, elle trépignait d'impatience de les montrer, au grand publique, comme un charmant couple, qui se voulait radieux, prometteur. Heureux, soudés, amoureux comme jamais. Et, tu ne saurais dire pourquoi, mais dans le fond, toi, tu te sentais, quelque peu, rongée. Consumer par la jalousie... Tu te savais pertinemment, que tu n'étais indifférente aux charmes de Graham. Malencontreusement, comme beaucoup de jeunes femmes de ton âge. Mais, sans nul doute possible, tu avais conscience que le cœur du bel apollon ne pouvait être que placer, entre les mains de la jeune Macintosh... Et, même si cela ne t'enchantait guère plus que cela, tu n'oserais jamais t'interposer en maître, entraver son bonheur. Il méritait d'être heureux, épanoui comme jamais. Après tout, qui étais-tu, seulement, pour prendre telle décision, qui ne te revenait point, dans le fond ? Il ne t'avait rien promis. Tu devais t'en tenir à ton rang, ta condition. Réduire à jamais, ses douloureuses pensées, qui ne faisait que te tromper. Aux tintements dévastateurs, tu ne faisais que te bercer d'amères illusions... Et, même si tu le désirais, plus que tout en ce bas monde, tu ne pourrais faire que de l'ombre, risquer le sombre courroux de cette famille voisine, qui ne te porter, déjà, dans son cœur. Et, tu ne souhaitais envenimer davantage la situation... Le temps de quelques instants, seulement, tu en profiter, dont, pour te frayer un bonhomme de chemin, sous le regard interrogateur, de ton cher paternel, jusqu'à la mère Macintosh, afin de pouvoir lui présenter tes plus plates excuses, concernant ta présence impromptue. « Mme Macintosh, toutes mes excuses, je... » Lui avouais-tu, d'une voix confuse. Ne sachant guère où te mettre, devant la situation étroite, dans laquelle tu venais de la placer, justement, néanmoins, qu'elle osais, finalement, t'adresser, discrètement un regard dédaigneux. Ce qui ne pouvait être que compréhensible, dans le fond. Toi-même, tu aurais agis de la sorte, à son égard. Si toutefois, les rôles avaient étaient échangés ! Hors, tu ne pouvais que te faire toute petite - aussi petite qu'une souris, qui tu le savais parfaitement, cette dernière se contenterait d'écraser, sous sa semelle dorée... « Nous ne vous attendions pas... » Soufflait-elle, doucement. Presque dans un murmure, afin que personne ne puissent entendre votre conversation, à mesure qu'un regard confus, attristé se peignait sur les fins traits de ton doux visage. « Je n'ai pas ma place ici, j'en conviens. Mais... » Tu tentait, vainement, de te justifier, lorsque la rouquine leva, subitement, la main, pour couper court à tes paroles, désormais évanouies. Enfouies, envoler, à jamais, dans les méandres de l'oubli... « Ne vous inquiétez pas, tout le monde a sa place. » Continua-t-elle, sur un ton beaucoup plus doux, serein, cette fois. T'adressant, alors, un doux petit rictus. Bien que tu fus, quelque peu, stupéfaite, tu te sentis, tout à coup, soulagée, heureuse, qu'elle ne t'en tienne rigueur plus longtemps. Tu lui rendit un regard reconnaissant, alors que tu souriais, telle une idiote balafrée, en retour. Te sentant réellement touchée, de son geste, son intention, que cette dame te portait, enfin. « Je saurais trouver la vôtre. » Acheva-t-elle, après quelques minutes durant, disparaissant à ta vue. Te laissant ainsi, telle une sombre idiote. Une statue de sel. Alors, que sur l'instant, tu tentais, vainement, d'emmagasiner, encaisser, le coup de massue, que tu venais de te prendre, en pleine figure. Alors que tu restais aussi droite qu'un piquet, aussi raide qu'une simple planche de bois... « La valse. Une danse simple. » Reconnu Graham, en contemplant chaque visage des convives, qui portèrent tous, quelques attentions, que cela fussent, à son égard. Malgré ta contrariété du moment, tu finis par te mettre aux côtés de la fille Macintosh, en prêtant une oreille, tout de même, à l'encontre du bel apollon, tout en gardant une certaine distance, néanmoins, afin de ne point faire d'ombre a la jeune femme. Après tout, c'était elle, la reine de la soirée ! « La dame se place un peu à gauche de son cavalier. Six pas, rien de plus... » Révéla-t-il, d'une voix suave, bien que sérieuse, à la fois, comme s'il osait livrer un grand secret, aux yeux de tout le monde. Néanmoins, le beau brun marqua une légère pause, qui se voulait courte, attendant, patiemment, qu'une invitée entre, le temps de quelques instants, au demeurant, au milieu de la pièce, afin de lui donner, en main propre, un chandelier contenant, seulement, une bougie allumée. Il l'a remercia, chaleureusement, avant que celle-ci ne rejoigne l'assemblée. Tenant, fermement, de sa main calleuse, l'objet. « Cependant, on dit qu'une valse est parfaite, lorsqu'elle est si légère, si délicate et singulière, qu'elle n'éteint pas la bougie, que tient le cavalier. » Avoue-t-il, d'une voix plus douce, en laissant s'échapper un mignon petit rictus, avant même de s'amuser, durant quelques longs instants durant, avec la flamme, la bougeant, légèrement, dans tous les sens, pour faire comprendre à la mêlée, son geste délicat. Guettant la moindre petite réaction, venant de leur part. Comme pour s'assurer de voir, qu'ils prêtent bien une attention, toute particulière, à son égard. « Bien sûr, cela exige la partenaire idéale... » Sous entendait ce dernier, à mesure qu'il finit par se rapprocher de la jeune Macintosh, alors que tu étais juste à ses côtés, suivit de sa mère, pour contempler la scène, qui se matérialisée devant elles - mère et fille, qui souriaient, telles des idiotes balafrées. Se sentant toutes deux, aussi surexcitées, comme des enfants, savourant, ainsi, l'idée que le beau brun allait faire sa demande auprès de la belle petite rousse, pour danser. Toi, tu boudais, dans le fond. Tu étais, sans nul doute possible, la seule, qui ne pouvait se réjouir de ce spectacle... Tout au contraire, des piques de glaces transperçaient, dès lors, ton âme, qui se voulait torturée. Tu glissais dans un trou noir et béant. Sans avoir de quoi te raccrocher... Abysse infernale où se perdent tes sentiments inavoués. Voluptueux poison, fieffée filouterie, qui se répandent, inlassablement, dans tes veines. Il te mettait au supplice, même sans le vouloir... Une poupée de chiffon, voilà ce que tu devenais... Il allait causer ta perte, pour sûr... Tu baissais dont la tête, pour ne pas avoir affaire à cela. Ne supportant guère, tout ceci, une seconde de plus. Tu serais, presque, tentée de fuir, au demeurant. Mais, tu n'eut point le temps de t'exécuter, que tu vis le bel apollon se mettre, finalement, à ta hauteur, te tendant, ainsi, la main, délicatement, à mesure que tu fus tout aussi sonnée, par la surprise, que tous les convives réunis. Comprenant, par la même occasion, la maîtresse de maison, ainsi que sa fille, qui ne pouvaient que se questionner, dans le fond. Se demander ce qui se passer, leurs arrivaient... « Serez-vous mienne ? » Te demandait-il, d'une voix suave, séductrice, tout en contemplant les fins traits de ton doux visage, empreint de stupeur. Attendant, sans nul doute possible, une quelconque réaction, réponse, de ta part, cependant que tu louchais entre ce dernier et la belle rousse, qui était à tes côtés, te suppliant, discrètement, de ne point attirer l'attention, que tu ne l'avait déjà fait auparavant. De ne guère lui voler la vedette, alors que tu entendais, en arrière fond, les convives chuchotaient, interloqués, par ce revirement de situation. « Certainement pas, merci. » Soufflais-tu, quelque peu embarrassée. Presque dans un murmure, néanmoins que tu adressais un regard navrée. Empreint d'une certaine mélancolie à Graham, qui devait sûrement rgretter de te l'avoir si gentiment proposer... Et, tu ne pouvais que t'en vouloir d'avantage, de lui causer pareil tourments. Mais, tu ne voulais remuer le couteau dans la plaie. Enfoncer, encore plus, le clou, ton cas... « Mais, Eunice serait ravie ! » Tentais-tu de te rattraper, en désignant d'un geste délicat, ta voisine, sans la toucher, toutefois. Craignant, ainsi, qu'elle te morde, dans le fond... « Certes, mais je m'adresse à vous. » Achevait-il, toujours aussi courtois, doux. Bien que tu y décelais une légère pointe de fermeté. Tu remarquais, bel et bien, que, dans tous les cas, le bel apollon continuerait de s'entêtait. De te demander, encore et toujours. Il te tendait dont la main, espérant désespérément, que tu accepterais volontiers. Toi, tu baissais tes orbes bleutées, dessus, avant même d'avancer la tienne, délicatement. Cependant, tu te surpris à laisser s'égrener quelques longues minutes, seulement, à travers ce sablier, qui marque votre apogée, votre temps. Toujours hésitante, restant sur la défensive... Tu te savais parfaitement, que cela ne plairait à quiconque regarder la scène. Tu avais conscience, qu'Eunice et sa mère, allaient sûrement te maudire, te haïr, jusqu'à la fin de tes jours comptés, mais tu t'en moquais, dans le fond... C'est pourquoi, tu t'exécuter, finalement. Posant, ainsi, ta main délicate, sur la sienne, tu vis le beau brun t'adresser un mignon petit rictus, visiblement satisfait de ta décision et t'entraîner, doucement, au centre de la pièce, à mesure que certaines voix de protestations, prônaient, dans l'habitacle. Mais, Graham ne prêtait plus attention à cela. Il se tournait, même, pour donner le signal à un membre de l'orchestre, qui se mit à jouer les premières notes de musique, sur un beau piano à queue. Le beau brun plaçait, alors, la bougie entre vos mains réunies, liées à jamais, tandis qu'il posait l'autre, délicatement, dans le bas de ton dos. Tu inspirais profondément, néanmoins qu'un léger frisson parcourait ton échine. Ton cœur se mit à tambouriner, cogner fort, dans ta cage thoracique. Pourtant, tu te décidais, à ton tour, de poser une main délicate, sur l'épaule du jeune homme.
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